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Stanislas Rodanski



Photo de Stanislas Rodanski
Copyright Olivier Cabière


Né en 1927 à Lyon, déporté en Allemagne en 1944, Bernard Glucksman devient, à son retour à Paris en 1946, Stanislas Rodanski.

Il se présente alors à André Breton, adhère au groupe surréaliste dont il est exclu en novembre 1948. C’est dans cette marge à laquelle on le renvoie qu’il rencontre Julien Gracq, Claude Tarnaud, Jacques Hérold et surtout François Di Dio, son “éditeur chéri”, qui fera de lui l’une des plus fascinantes figures de la constellation du Soleil Noir. Le 1er janvier 1954, Stanislas Rodanski se présente à l’hôpital psychiatrique Saint-Jean de Dieu près de Lyon, pour un internement volontaire qui durera jusqu’à sa mort, le 23 juillet 1981.

On peut lire son volume d’Écrits chez Christian Bourgois, quelques plaquettes (poésie, extraits du journal) aux éditions Deleatur, ainsi que La nostalgie sexuelle belle prose inédite, aux éditions de l’Arachnoïde (5 bd des Châtaigniers, 30120 Le Vigan). Deux autres inédits ont paru dans moriturus n° 2 et moriturus n° 5 Également chez Fissile, Requiem for me, un poème de Stanislas Rodanski de 1952.



 


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